Christian Globensky, Comment j’ai appris à me tenir droit, KTA éditions, 2014, 105 p.

couve-1Ce petit livre d’artiste que vous allez découvrir dans un instant, que l’on pourrait croire dans un premier temps destiné à une collection de développement personnel, embrasse en fait un champ bien plus large, allant de la philosophie à l’esthétique. Si son auteur entend démontrer que l’usage du don est au coeur de la réalisation de soi, entendue ici comme un phénomène esthétique, c’est pour mieux poser cette question : « Comment peut-on devenir un sponsor de la générosité ? » Parce que le dépassement de soi requiert avant tout un don de soi, ce livre accorde également une attention toute particulière au langage du corps, donnant au lecteur de multiples conseils afin de lui permettre de vivre à la fois une renaissance esthétique et athlétique.

This booklet aims to demonstrate that the use of the gift is at the heart of self-realization, understood here as an aesthetic phenomenon , an artistic experience and a philosophical exercise. Through the use of pastiche, the stylistic form of this book gives itself as a literary experiment from two very different books and from two separate times but dealing their way to personal success : « You can be what you want to be », Paul Arden and « Ecce homo », Nietzsche

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